Fabulations nocturnes: Écologie, vitalité et opacité dans le cinéma d’Apichatpong Weerasethakul
Fabulations nocturnes est un essai d’intercession. Ce n’est pas simplement un livre à propos du cinéaste Apichatpong Weerasethakul, bien qu’il se penche de près sur son œuvre. C’est plutôt un livre qui interroge en profondeur quoi d’autre pourrait...
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Fabulations nocturnes est un essai d’intercession. Ce n’est pas simplement un livre à propos du cinéaste Apichatpong Weerasethakul, bien qu’il se penche de près sur son œuvre. C’est plutôt un livre qui interroge en profondeur quoi d’autre pourrait être en cause dans la mise en place des conditions de collaboration entre deux genres – le cinéma et l’écriture. Ce projet collectif est animé d’un intérêt commun pour la pragmatique de la fabulation et son geste spéculatif générateur d’un peuple à venir. Les concepts d’écologie, de vitalité et d’opacité ont surgi de la rencontre avec le dramscape d’Apichatpong pour venir articuler un ethos de fabulation qui décadre l’expérience, recompose la subjectivité et défixe le temps.
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Nocturnal Fabulations: Ecology, Vitality and Opacity in the Cinema of Apichatpong Weerasethakul
Nocturnal Fabulations is an essay in intercessing. This is not a book that is simply ‘about’ Apichatpong Weerasethakul, though it does engage his work in detail. It is a book that deeply questions what else might be at stake in setting up the...
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Nocturnal Fabulations is an essay in intercessing. This is not a book that is simply ‘about’ Apichatpong Weerasethakul, though it does engage his work in detail. It is a book that deeply questions what else might be at stake in setting up the conditions for collaboration across two genres: cinema and writing. This collective project is animated by a shared curiosity in the pragmatics of fabulation and its speculative gesture of bringing forth a people to come. In an encounter with Apichatpong’s cinematic dreamscape, the concepts of ecology, vitality and opacity emerge to articulate an ethos of fabulation that deframes experience, recomposes subjectivity and unfixes time.
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