La littérature algérienne de langue française est partiellement méconnue. Au-delà des écrivains français nés en Algérie, le livre s'intéresse surtout aux écrivains algériens d'origine arabo-berbère. Quelques écrivains ont marqué les lecteurs comme...
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Universitätsbibliothek der Eberhard Karls Universität
Signatur:
55 A 1991
Fernleihe:
uneingeschränkte Fernleihe, Kopie und Ausleihe
La littérature algérienne de langue française est partiellement méconnue. Au-delà des écrivains français nés en Algérie, le livre s'intéresse surtout aux écrivains algériens d'origine arabo-berbère. Quelques écrivains ont marqué les lecteurs comme Rachid Boudjedra, Yasmina Khadra, Azouz Beghagh, Assia Djebar ou encore Kateb Yacine. Quand ce dernier affirme : « Français, nous avons pris votre langue en otage... », c'est toute une littérature qui se lève. Une littérature marquée par l'histoire, le colonialisme et le déracinement culturel qui n'est pas sans nous rappeler les problématiques des littératures créoles ou africaines, voire certains textes de la littérature bretonne de langue française. Afin d'y voir clair dans la singularité et la complexité de cette littérature, le livre est construit autour de trois grandes périodes : les grands anciens, la génération de la rupture et la relève. Ce livre constitue une initiation à l'étude de cette littérature et de ces écrivains. Une littérature francophone mais farouchement algérienne.