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« Malgré un parcours plus qu'honorable et quelques petits chefs-d'oeuvre en poche (Comme enfant je suis cuit, Garage Molinari), Jean-François Beauchemin demeure un des secrets les mieux gardés de notre littérature. (...) Plus accessible que Le Jour des corneilles, mais peut-être moins bien ficelé, Turkana Boy demeure toutefois un beau moment de l'automne littéraire. »Antoine Tanguay, Sortir« J'ai découvert Jean-François Beauchemin par Le Petit Pont de la Louve que j'ai adoré. J'ai ensuite lu Garage Molinari. Il a la capacité de tout ramener dans le regard lucide et imagé de l'enfance à la fois dans ce qu'il y a de petit et de grand, d'immense et de tragique. (...) L'écriture de Beauchemin se dépose comme bruine, comme chagrin, lentement dans la douce tombée des choses. (...) Une lecture pour ceux qui aiment la poésie et la pluie. »Sylvie Nicolas, Radio Basse-Ville - Tiens, Tiens, Tiens... (Québec)« Livre intimiste, bien écrit, qui tente d'amener le lecteur vers des valeurs plus philosophiques, le poussant vers la nature, vers les autres. »Pierre Blais, CKRL - Les matins distincts (Québec)« Ce huitième roman de Jean-François Beauchemin est sans doute le plus grave et le plus inspirant d'une oeuvre qui flirte avec divers styles, de l'écriture enfantine (Comme un enfant je suis cuit) au langage archaïque (Le Jour des corneilles). (...) Un livre magnifique. »Julie Sergent, Amazon.ca (Internet)« Un excellent roman et une très belle réflexion qui vous remue l'intérieur. »Michel Doucet, Radio-Canada - Le Réveil (Nouveau-Brunswick).
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