Verlaine, poète maudit, nait en 1844 à Metz. Il finira sa vie à Paris en 1882 dans la déchéance et l'alcool. Cet ouvrage réunit les recueils, possédant une force musicale sans pareil, de ce génie poétique violent, passionné et amant de Rimbaud....
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Verlaine, poète maudit, nait en 1844 à Metz. Il finira sa vie à Paris en 1882 dans la déchéance et l'alcool. Cet ouvrage réunit les recueils, possédant une force musicale sans pareil, de ce génie poétique violent, passionné et amant de Rimbaud. Verlaine, poète maudit, nait en 1844 à Metz. Il finira sa vie à Paris en 1882 dans la déchéance et l'alcool. Cet ouvrage réunit les recueils, possédant une force musicale sans pareil, de ce génie poétique violent, passionné et amant de Rimbaud
Couverture; Page de Copyright; Page de titre; Poèmes saturniens; Prologue; Melancholia; Résignation; Nevermore; Après trois ans; Vœu; Lassitude; Mon rêve familier; À une femme; L'angoisse; Eaux-Fortes; Croquis parisien; Cauchemar; Marine; Effet de nuit; Grotesques; Paysages tristes; Soleils couchants; Crépuscule du soir mystique; Promenade sentimentale; Nuit du Walpurgis classique; Chanson d'automne; L'heure du berger; Le rossignol; Caprices; Femme et chatte; Jésuitisme; La chanson des ingénues; Une grande dame; Monsieur Pruhomme; Initium; Çavitri; Sub urbe; Sérénade; Un dahlia; Nevermore
Il bacioDans les bois; Nocturne parisien; Marco; César Borgia; La mort de Philippe II; Épilogue; Fêtes galantes; Clair de lune; Pantomime; Sur l'herbe; L'allée; À la promenade; Dans la grotte; Les ingénus; Cortège; Les coquillages; En patinant; Fantoches; Cythère; En bateau; Le faune; Mandoline; À Clymène; Lettre; Les indolents; Colombine; L'amour par terre; En sourdine; Colloque sentimental; La bonne chanson; I - Le soleil du matin doucement chauffe et dore; II - Toute grâce et toutes nuances; III - En robe grise et verte avec des ruches; IV - Puisque l'aube grandit, puisque voici l'aurore
V - Avant que tu ne t'en aillesVI - La lune blanche; VII - Le paysage dans le cadre des portières; VIII - Une Sainte en son auréole; IX - Son bras droit, dans un geste aimable de douceur; X - Quinze longs jours encore et plus de six semaines; XI - La dure épreuve va finir; XII - Va, chanson, à tire-d'aile; XIII - Hier, on parlait de choses et d'autres; XIV - Le foyer, la lueur étroite de la lampe; XV - J'ai presque peur, en vérité; XVI - Le bruit des cabarets, la fange des trottoirs; XVII - N'est-ce pas ? en dépit des sots et des méchants; XVIII - Nous sommes en des temps infâmes
XIX - Donc, ce sera par un clair jour d'étéXX - J'allais par des chemins perfides; XXI - L'hiver a cessé : la lumière est tiède; Romances sans paroles; I - C'est l'extase langoureuse; II - Je devine, à travers un murmure; III - Il pleure dans mon cœur; IV - Il faut, voyez-vous, nous pardonner les choses; V - Le piano que baise une main frêle; VI - C'est le chien de Jean de Nivelle; VII - Ô triste, triste était mon âme; VII - Dans l'interminable; IX - L'ombre des arbres dans la rivière embrumée; Paysages belges; Walcourt; Charleroi; Bruxelles simples fresques; Bruxelles chevaux de bois
MalinesBirds in the night; Aquarelles; Green; Spleen; Streets; Child wife; A poor young shepherd; Beams; Sagesse; I - Bon chevalier masqué qui chevauche en silence; II - J'avais peiné comme Sisyphe; III - Qu'en dis-tu, voyageur, des pays et des gares; IV - Malheureux ! Tous les dons, la gloire du baptême; V - Beauté des femmes, leur faiblesse, et ces mains pâles; VI - Ô vous, comme un qui boite au loin. Chagrins et Joies; VII - Les faux beaux jours ont lui tout le jour, ma pauvre âme; VIII - La vie humble aux travaux ennuyeux et faciles; IX - Sagesse d'un Louis Racine, je t'envie !
X - Non. Il fut gallican, ce siècle, et janséniste !