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  1. Le Mal et ses masques
    Théâtre, imaginaire, société
    Published: 2016
    Publisher:  ENS Éditions, Lyon ; OpenEdition, Marseille

    Le « mal », impensé collectif, prend corps au gré de diverses représentations mythiques, poétiques, graphiques, musicales. Sorcières, guérisseuses, Machiavels, Antéchrists, voire bestiaire infernal, incarnent au théâtre ou dans la littérature... more

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    Le « mal », impensé collectif, prend corps au gré de diverses représentations mythiques, poétiques, graphiques, musicales. Sorcières, guérisseuses, Machiavels, Antéchrists, voire bestiaire infernal, incarnent au théâtre ou dans la littérature pamphlétaire des xvie et xviie siècles ces « agents du diable » censés rendre visibles les dangers de l'invisible, mais que seuls leurs masques permettent de démasquer. La « diabolisation » de l'adversaire politique autorise une «chasse aux sorcières» qui n'a rien de métaphorique, mais au théâtre comme sur la scène politique, elle permet aussi la mise en évidence des jeux pervers du discours, le mal aux prises avec les mots, masque de l' « équivoque » qui ne parle pas seulement par la voix des sorcières comme dans Macbeth, mais inscrit l'ambivalence, menace de dévotement, comme mal au cœur de tout discours. L'ambivalence contient en elle la parodie, qui ne retient de l'invisible que le risible, mais elle permet aussi toutes les ruses de l'imaginaire pour surmonter les traumatismes du corps et de l'esprit, comme chez Graves ou Coleridge. Le théâtre lyrique, « chant des Enfers », témoigne aussi de cette « double voix ». Divertissement entre éthique et esthétique avec Purcell, ou affrontement idéologique entre choeurs des opprimés et chœurs des oppresseurs chez Haendel, il peut aussi prendre le relais du tragique : l'amalgame sensationnel, « théâtral », entre les monstres des enfers païens et l'enfer chrétien prive ce lieu par excellence du mal de toute référence métaphysique, pour mieux isoler comme nouveau « mal » le seul malheur de la passion trop humaine. L'enfer traditionnel se réduit à ses propres représentations parodiques, combien moins angoissantes que l'ontologie infernale proposée dans le Faust de Marlowe, égale à la contingence de l'être-là sans lieu ni durée définis.

     

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  2. Le Mal et ses masques
    Published: 1998
    Publisher:  ENS Éditions, [Erscheinungsort nicht ermittelbar] ; OAPEN FOUNDATION, The Hague

    Le « mal », impensé collectif, prend corps au gré de diverses représentations mythiques, poétiques, graphiques, musicales. Sorcières, guérisseuses, Machiavels, Antéchrists, voire bestiaire infernal, incarnent au théâtre ou dans la littérature... more

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    Le « mal », impensé collectif, prend corps au gré de diverses représentations mythiques, poétiques, graphiques, musicales. Sorcières, guérisseuses, Machiavels, Antéchrists, voire bestiaire infernal, incarnent au théâtre ou dans la littérature pamphlétaire des xvie et xviie siècles ces « agents du diable » censés rendre visibles les dangers de l'invisible, mais que seuls leurs masques permettent de démasquer. La « diabolisation » de l'adversaire politique autorise une «chasse aux sorcières» qu...

     

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    Source: Union catalogues
    Language: French
    Media type: Ebook
    Format: Online
    ISBN: 9782902126354; 9782847887471
    RVK Categories: EC 4720
    Other subjects: art; sorcière; musique; littérature; mal; théâtre; bien
  3. Le Mal et ses masques
    théâtre, imaginaire, société
    Contributor: Venet, Gisèle (Publisher)
    Published: 2016
    Publisher:  ENS Éditions, Lyon

    Le « mal », impensé collectif, prend corps au gré de diverses représentations mythiques, poétiques, graphiques, musicales. Sorcières, guérisseuses, Machiavels, Antéchrists, voire bestiaire infernal, incarnent au théâtre ou dans la littérature... more

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    Le « mal », impensé collectif, prend corps au gré de diverses représentations mythiques, poétiques, graphiques, musicales. Sorcières, guérisseuses, Machiavels, Antéchrists, voire bestiaire infernal, incarnent au théâtre ou dans la littérature pamphlétaire des xvie et xviie siècles ces « agents du diable » censés rendre visibles les dangers de l'invisible, mais que seuls leurs masques permettent de démasquer. La « diabolisation » de l'adversaire politique autorise une «chasse aux sorcières» qui n'a rien de métaphorique, mais au théâtre comme sur la scène politique, elle permet aussi la mise en évidence des jeux pervers du discours, le mal aux prises avec les mots, masque de l' « équivoque » qui ne parle pas seulement par la voix des sorcières comme dans Macbeth, mais inscrit l'ambivalence, menace de dévotement, comme mal au cœur de tout discours. L'ambivalence contient en elle la parodie, qui ne retient de l'invisible que le risible, mais elle permet aussi toutes les ruses de l'imaginaire pour surmonter les traumatismes du corps et de l'esprit, comme chez Graves ou Coleridge. Le théâtre lyrique, « chant des Enfers », témoigne aussi de cette « double voix ». Divertissement entre éthique et esthétique avec Purcell, ou affrontement idéologique entre choeurs des opprimés et chœurs des oppresseurs chez Haendel, il peut aussi prendre le relais du tragique : l'amalgame sensationnel, « théâtral », entre les monstres des enfers païens et l'enfer chrétien prive ce lieu par excellence du mal de toute référence métaphysique, pour mieux isoler comme nouveau « mal » le seul malheur de la passion trop humaine. L'enfer traditionnel se réduit à ses propres représentations parodiques, combien moins angoissantes que l'ontologie infernale proposée dans le Faust de Marlowe, égale à la contingence de l'être-là sans lieu ni durée définis

     

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    Source: Union catalogues
    Contributor: Venet, Gisèle (Publisher)
    Language: French
    Media type: Ebook
    Format: Online
    ISBN: 9782847887471
    Other identifier:
    RVK Categories: EC 4720
    Series: Signes
    Subjects: Das Böse; Kunst
    Scope: 1 Online-Ressource (456 Seiten)
  4. Le Mal et ses masques
    théâtre, imaginaire, société
    Contributor: Venet, Gisèle (Publisher)
    Published: 2016
    Publisher:  ENS Éditions, Lyon

    Le « mal », impensé collectif, prend corps au gré de diverses représentations mythiques, poétiques, graphiques, musicales. Sorcières, guérisseuses, Machiavels, Antéchrists, voire bestiaire infernal, incarnent au théâtre ou dans la littérature... more

    Zentralinstitut für Kunstgeschichte, Bibliothek
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    Le « mal », impensé collectif, prend corps au gré de diverses représentations mythiques, poétiques, graphiques, musicales. Sorcières, guérisseuses, Machiavels, Antéchrists, voire bestiaire infernal, incarnent au théâtre ou dans la littérature pamphlétaire des xvie et xviie siècles ces « agents du diable » censés rendre visibles les dangers de l'invisible, mais que seuls leurs masques permettent de démasquer. La « diabolisation » de l'adversaire politique autorise une «chasse aux sorcières» qui n'a rien de métaphorique, mais au théâtre comme sur la scène politique, elle permet aussi la mise en évidence des jeux pervers du discours, le mal aux prises avec les mots, masque de l' « équivoque » qui ne parle pas seulement par la voix des sorcières comme dans Macbeth, mais inscrit l'ambivalence, menace de dévotement, comme mal au cœur de tout discours. L'ambivalence contient en elle la parodie, qui ne retient de l'invisible que le risible, mais elle permet aussi toutes les ruses de l'imaginaire pour surmonter les traumatismes du corps et de l'esprit, comme chez Graves ou Coleridge. Le théâtre lyrique, « chant des Enfers », témoigne aussi de cette « double voix ». Divertissement entre éthique et esthétique avec Purcell, ou affrontement idéologique entre choeurs des opprimés et chœurs des oppresseurs chez Haendel, il peut aussi prendre le relais du tragique : l'amalgame sensationnel, « théâtral », entre les monstres des enfers païens et l'enfer chrétien prive ce lieu par excellence du mal de toute référence métaphysique, pour mieux isoler comme nouveau « mal » le seul malheur de la passion trop humaine. L'enfer traditionnel se réduit à ses propres représentations parodiques, combien moins angoissantes que l'ontologie infernale proposée dans le Faust de Marlowe, égale à la contingence de l'être-là sans lieu ni durée définis

     

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    Source: Union catalogues
    Contributor: Venet, Gisèle (Publisher)
    Language: French
    Media type: Ebook
    Format: Online
    ISBN: 9782847887471
    Other identifier:
    RVK Categories: EC 4720
    Series: Signes
    Subjects: Das Böse; Kunst
    Scope: 1 Online-Ressource (456 Seiten)