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  1. Travaux de maîtres carolingiens sur L'Ars de Priscien
    gloses interlinéaires, marginales et collectées
    Autor*in: Cinato, Franck
    Erschienen: 2010
    Verlag:  [Verlag nicht ermittelbar], [Frankreich]

    L’étude de l’Ars de Priscien débutée discrètement dans les Îles britanniques au VIIe siècle, a occupé une place centrale dans la formation médiévale. Sous l’impulsion d’Alcuin puis de générations d’écolâtres, elle a ouvert de nouvelles perspectives... mehr

    Staatsbibliothek zu Berlin - Preußischer Kulturbesitz, Haus Unter den Linden
    uneingeschränkte Fernleihe, Kopie und Ausleihe

     

    L’étude de l’Ars de Priscien débutée discrètement dans les Îles britanniques au VIIe siècle, a occupé une place centrale dans la formation médiévale. Sous l’impulsion d’Alcuin puis de générations d’écolâtres, elle a ouvert de nouvelles perspectives aux réflexions grammaticales. Les plus anciens témoins manuscrits de l’Ars attestent que les innombrables explications notées en marges jouaient le rôle de véritable moyen de transmission du savoir. Une approche typologique des gloses carolingiennes révèle la grande diversité et la spécialisation de certains corpus. Le manuscrit Vatican, Reg. lat., 1650 conserve une collection de glossae collectae qui renvoie à l'étude de Priscien produite au début du IXe siècle, peu après la constitution du Liber glossarum, et qui pourrait remonter au travail de grammairiens dans l'entourage de la cour de Charlemagne. En tant que corpus « témoin », sa comparaison avec d'autres collections constituées plus tard dans le siècle permet d'observer l'évolution d'un fonds commun et de mesurer les apports particuliers, notamment ceux de Sedulius et Jean Scot. Ils constituent une exception notable dans la mesure où ils ont étudié le grec de Priscien, alors négligé. Les gloses faisant continuellement l’objet de discussions critiques subirent un renouvellement plus ou moins important. Il apparaît que les explications dites « lexicales », en vertu de leur polyvalence, font preuve d'une longévité et d'une propagation plus importante que celles dédiées exclusivement au texte de Priscien et discutant exclusivement de doctrines grammaticales. Par enrichissements successifs, les corpus de gloses sur Priscien ont fini par constituer une source riche en explications variées, qui, à partir de la fin du IXe siècle, a été exploitée autant lors de la constitution de glossaires qu’à l’occasion de la rédaction de commentaires, faisant ainsi des corpus de gloses sur Priscien une étape majeure dans l’histoire de la lexicographie The study of Priscian's Ars started quietly in the British Isles on VIIth century, has occupied a major place in medieval formation. With Alcuin impulse and followed by generations of scholars, it has opened new perspectives on grammatical theory. Some of the older manuscript witnesses of the Ars provide evidences that the extent numbers of explanations in margins was real tools of transmitting knowledge. In a typological view, Carolingian glosses reveal the great diversity and specialization of some corpus. The Vatican manuscript, Reg. lat., 1650 preserve a collection of glossae collectae which refers to the study Priscian produced in the early ninth century, shortly after the formation of Liber glossarum, which could date back to the work of grammarians in the circle of the court of Charlemagne. As corpus “witness”, its comparison with other later collections in the century gives a way to observe the evolution of a common fund and to measure individual contributions, including those of Sedulius and John Scot. They are a notable exception because they have studied Greek from Priscian, then neglected. As the glosses were continually discussed, they underwent a renewal more or less important. It appears that the explanations called "lexical", by virtue of their versatility, have demonstrated longevity and a greater spread than those dedicated only to Priscian and discussing exclusively of grammatical doctrines. By successive enrichments, the corpus of glosses on Priscian eventually became a rich source of varied explanations, which, from the late ninth century, has been used both during the formation of glossaries and on writing comments, thus making glosses corpora on Priscien a major stage in the history of the lexicography

     

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    Quelle: Staatsbibliothek zu Berlin
    Beteiligt: Dolbeau, François (AkademischeR BetreuerIn)
    Sprache: Französisch; Latein
    Medientyp: Dissertation; Datenträger; Mikrofilm, Mikrofiche etc.
    Schriftenreihe: Lille-thèses
    Schlagworte: Latin (langue) médiéval et moderne ; Grammaire ; Gloses; Thèses et écrits académiques
    Weitere Schlagworte: Priscien
    Umfang: 517, 471 Seiten, Illustrationen, 105 x 148 mm
    Bemerkung(en):

    Die ursprüngliche Ausgabe ist eine mehrteilige Monografie

    Dissertation, Paris, École pratique des hautes études, 2010

  2. Travaux de maîtres carolingiens sur L'Ars de Priscien
    gloses interlinéaires, marginales et collectées
    Autor*in: Cinato, Franck
    Erschienen: 2010
    Verlag:  [Verlag nicht ermittelbar], [Frankreich]

    L’étude de l’Ars de Priscien débutée discrètement dans les Îles britanniques au VIIe siècle, a occupé une place centrale dans la formation médiévale. Sous l’impulsion d’Alcuin puis de générations d’écolâtres, elle a ouvert de nouvelles perspectives... mehr

    Staatsbibliothek zu Berlin - Preußischer Kulturbesitz, Haus Potsdamer Straße
    1 F 48134
    uneingeschränkte Fernleihe, Kopie und Ausleihe

     

    L’étude de l’Ars de Priscien débutée discrètement dans les Îles britanniques au VIIe siècle, a occupé une place centrale dans la formation médiévale. Sous l’impulsion d’Alcuin puis de générations d’écolâtres, elle a ouvert de nouvelles perspectives aux réflexions grammaticales. Les plus anciens témoins manuscrits de l’Ars attestent que les innombrables explications notées en marges jouaient le rôle de véritable moyen de transmission du savoir. Une approche typologique des gloses carolingiennes révèle la grande diversité et la spécialisation de certains corpus. Le manuscrit Vatican, Reg. lat., 1650 conserve une collection de glossae collectae qui renvoie à l'étude de Priscien produite au début du IXe siècle, peu après la constitution du Liber glossarum, et qui pourrait remonter au travail de grammairiens dans l'entourage de la cour de Charlemagne. En tant que corpus « témoin », sa comparaison avec d'autres collections constituées plus tard dans le siècle permet d'observer l'évolution d'un fonds commun et de mesurer les apports particuliers, notamment ceux de Sedulius et Jean Scot. Ils constituent une exception notable dans la mesure où ils ont étudié le grec de Priscien, alors négligé. Les gloses faisant continuellement l’objet de discussions critiques subirent un renouvellement plus ou moins important. Il apparaît que les explications dites « lexicales », en vertu de leur polyvalence, font preuve d'une longévité et d'une propagation plus importante que celles dédiées exclusivement au texte de Priscien et discutant exclusivement de doctrines grammaticales. Par enrichissements successifs, les corpus de gloses sur Priscien ont fini par constituer une source riche en explications variées, qui, à partir de la fin du IXe siècle, a été exploitée autant lors de la constitution de glossaires qu’à l’occasion de la rédaction de commentaires, faisant ainsi des corpus de gloses sur Priscien une étape majeure dans l’histoire de la lexicographie The study of Priscian's Ars started quietly in the British Isles on VIIth century, has occupied a major place in medieval formation. With Alcuin impulse and followed by generations of scholars, it has opened new perspectives on grammatical theory. Some of the older manuscript witnesses of the Ars provide evidences that the extent numbers of explanations in margins was real tools of transmitting knowledge. In a typological view, Carolingian glosses reveal the great diversity and specialization of some corpus. The Vatican manuscript, Reg. lat., 1650 preserve a collection of glossae collectae which refers to the study Priscian produced in the early ninth century, shortly after the formation of Liber glossarum, which could date back to the work of grammarians in the circle of the court of Charlemagne. As corpus “witness”, its comparison with other later collections in the century gives a way to observe the evolution of a common fund and to measure individual contributions, including those of Sedulius and John Scot. They are a notable exception because they have studied Greek from Priscian, then neglected. As the glosses were continually discussed, they underwent a renewal more or less important. It appears that the explanations called "lexical", by virtue of their versatility, have demonstrated longevity and a greater spread than those dedicated only to Priscian and discussing exclusively of grammatical doctrines. By successive enrichments, the corpus of glosses on Priscian eventually became a rich source of varied explanations, which, from the late ninth century, has been used both during the formation of glossaries and on writing comments, thus making glosses corpora on Priscien a major stage in the history of the lexicography

     

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    Quelle: Staatsbibliothek zu Berlin
    Beteiligt: Dolbeau, François (AkademischeR BetreuerIn)
    Sprache: Französisch; Latein
    Medientyp: Dissertation; Datenträger; Mikrofilm, Mikrofiche etc.
    Schriftenreihe: Lille-thèses
    Schlagworte: Latin (langue) médiéval et moderne ; Grammaire ; Gloses; Thèses et écrits académiques
    Weitere Schlagworte: Priscien
    Umfang: 517, 471 Seiten, Illustrationen, 105 x 148 mm
    Bemerkung(en):

    Die ursprüngliche Ausgabe ist eine mehrteilige Monografie

    Dissertation, Paris, École pratique des hautes études, 2010